Jusqu'à présent, le mouvement contre la réforme des retraites était plutôt calme à Grenoble.

Ce mercredi, un individu réalisait un rodéo urbain dans le quartier de la Luire à Grenoble.

En décidant finalement d'avoir recours au 49.3 pour ne pas faire face à un vote indécis de l'Assemblée nationale sur la réforme des retraites, le gouvernement a provoqué la colère des élus d'opposition.

Ils ont vécu l'enfer.

Ce mercredi matin, le ton est monté sur la route en plein centre-ville de Grenoble.

Un monstre.

Les Brûleurs de Loups ont tenu leur rang.

Les supporters grenoblois espèrent que cette expulsion ne leur coûtera pas des points.

Ce mardi soir, l'éclairage public de plusieurs quartiers de Grenoble a été coupé.

Ce mercredi matin, les Grenoblois en colère remettent ça.

C'est une série de cold cases que la justice française entend percer à jour.

On en connait qui ont du se faire taper sur les doigts.

L'enquête de gendarmerie ne fait que commencer.

Il n'a plus donné de nouvelles depuis dimanche.

Les enquêteurs n'ont pas mis longtemps à comprendre qu'il s'agissait d'un suicide.

Quoi de mieux que des dizaines de manifestants devant l'Hôtel de Ville pour bien lancer un conseil municipal déjà explosif ?

Stop ou encore ?

L'enquête et la justice ont pris leur temps.

Ce lundi, les élus grenoblois se retrouveront pour un conseil municipal électrique.

Ce samedi matin, la police est intervenue au 36 rue du Drac.

Cela faisait plus d’un mois que Grenoble n’avait pas goûté à la victoire.