Les commerçants et les propriétaires des remontées mécaniques manifesteront suite aux pertes économiques et touristiques.

L'équipementier automobile prévoit la suppression de 5000 emplois dans le monde dont environ 1600, en France.

Le cabinet d'expert saisis par le "Pays voironnais" a considéré comme "viable" un projet de relance d'activité des papeteries de Voiron.

Une cinquantaine de personnnes ont profité de ce jour d'affluence sur les routes pour manifester à Rochetaillée sur la route de Vaujany.

Leurs 8 structures ont aidé l'année dernière 10 000 jeunes de 16 à 25 ans à reprendre contact avec le monde du travail.

Ils protestaient contre la disparition programmée des IUFM.

Le site de Seyssuel, près de Vienne, va perdre 40 emplois sur 46 d'ici février.

Ils étaient près de 150 000 a manifesté hier dans tout le pays…

Hier, les employés du site de Seyssuel ont décidé de cesser le travail.

C’est ce qu’a annoncé hier l'équipementier.

Le Tribunal de Commerce a proposé une alliance en deux repreneurs potentiels qui permettrait de sauver 160 des 182 emplois.

Les parents d’élèves de l’école primaire de la salle en Beaumont ont bloqué l’établissement durant une heure hier…

L’entreprise anticipe une baisse de 15 % de ses ventes au quatrième trimestre. Face aux nombreuses annulations de commandes, le chimiste a annoncé son intention de réduire ses coûts.

Une trentaine de salariés ont manifesté pour faire signer une lettre ouverte au Président de la République.

Une intersyndicale appelle aujourd'hui à la grève « l'ensemble des salariés du réseau national des Missions locales afin de défendre et développer leurs missions et leurs structures ».

Ils protestaient contre l'assassinat d'un jeune de 15 ans tombé sous les balles de la police grecque la semaine dernière.

La signature de cette convention lit tous les acteurs concernés, justice, police, gendarmerie, experts, conseil général et associations.

Les représentants de plus d'une vingtaine de collectifs, associations et partis politiques isérois, se sont rassemblés, hier en fin d'après-midi, devant le Conseil général de l'Isère.

Une quinzaine de personnes s’étaient rassemblées devant le consulat de Grenoble où ont été inscrits des tags en français fustigeant la répression des polices grecques et françaises.

La caserne de Vienne a été mise en vente il y a quelques jours sur le net pour 1 euros symbolique.

Au 1er janvier, elle fusionnera avec l'Urssaf de Grenoble.