L'entreprise Sandvik Hard Materials n’est pas épargné par la crise
Au point que la direction de l'usine d'Épinouze envisage des mesures de chômage partiel si l'activité continue à ralentir en début d'année.
Ces difficultés conjoncturelles, qui touchent tous les secteurs, avaient jusqu'à présent plutôt épargné l'activité de Sandvik. Ces mesures de chômage partiel, si elles étaient appliquées, concerneraient 120 salariés sur les sites d'Épinouze et de Grenoble. Un comité d'entreprise extraordinaire se réunira pour décider s'il y a lieu de les mettre en place.