Médiator : la colère des parties civiles

Le tribunal correctionnel de Nanterre a décidé lundi de reporter le procès du médicament suspecté d'avoir provoqué la mort de 500 à 2 000 personnes, pour une « question de procédure ».

Elle est en tout cas très mal acceptée par une association qui défend 64 victimes du nord-Isère. Le Comité Action Prévenir et Réparer du Nord Isère avait d’ailleurs fait le déplacement lundi dans les Hauts-de-Seine.