Le directeur d’Alpexpo accusé de harcèlement moral

Guy Chanal est visé par une enquête préliminaire, qui fait suite à un rapport de l’inspection du travail.

Celui-ci dénonce un système de management du personnel utilisant « la déstabilisation, la brutalité orale, l’humiliation et l’appel à la délation ». L’inspection du travail dénonce aussi « une charge de travail accrue, de nature à provoquer des situations d’épuisement ». 13 des 54 employés d'Alpexpo auraient quitté la société dans les 18 mois ayant suivi l'arrivée de Guy Chanal. Les faits qui lui sont reprochés sont passibles d’un an de prison et d'une amende de 3 750 euros.