Le maire de Pont-de-Claix signataire d’une pétition

Christophe Ferrari a rejoint les maires de treize autres communes françaises, abritant des sites industriels à risque.

Ensemble, ils demandent à l’État de prendre à sa charge une plus grande part financière des travaux que les riverains sont contraints de mener en termes de protection. Cela concerne les travaux de mise aux normes des systèmes de ventilation, ou encore des travaux d’étanchéité des vitreries. Des travaux qui peuvent coûter jusqu’à 3000 euros. Un crédit d’impôt de 40% octroyé par le gouvernement a récemment été abaissé.