L’Isère compte 30 000 logements « indignes »

C’est ce que révèle une étude menée par le ministère de l’Écologie, et de l’Aménagement du territoire.

Ont été pris en compte : les logements sans confort, sans douche ni baignoire, et sans toilettes. Cela représente 5% des résidences principales. Ce taux est un peu plus bas dans l’agglomération grenobloise, mais il peut monter jusqu’à 10% des habitations dans les zones plus rurales, comme la Bièvre, le Sud-Grésivaudan ou la Matheysine. Trois quarts de ces logements indignes seraient occupés quotidiennement.