L’enquête sur la mort d’une femme brûlée avance
La police grenobloise est d’ores et déjà sûre qu’aucune trace d’aspersion n’est visible dans l’appartement de la victime cours de la Libération à Grenoble.
Elle aurait alors été ramenée chez elle après l’attaque.
L’autopsie du corps a permis d’établir qu’elle avait succombé à ses blessures causées par une aspersion de soude ou d’acide.
Cette dernière lui avait brûlé plus de 30% du corps.
C’est sa colocataire qui avait appelé les secours lundi dernier après l’avoir trouvé agonisante.