Relaxé après la mort de sa jument
Le dirigeant d’une entreprise à Marcilloles et propriétaire de trois juments, comparaissait le mois dernier devant le tribunal de police de Grenoble.
Il faisait l’objet de poursuites pour mauvais traitements après que l’un de ses animaux ait été retrouvé mort dans son champ au printemps 2010. Finalement la justice lui a donné raison. L’homme pourrait toutefois engager une nouvelle procédure, car si les gendarmes avaient conclu que la jument s’était éventrée sur des barbelés, lui reste convaincu que l’animal a été sauvagement tué.