Nicolas Sarkozy s’est plié à l’exercice du grand oral

Il a notamment justifié le maintien de François Fillon à Matignon, en affirmant qu’il est je cite : « le meilleur Premier ministre pour la France ». Il s’est également exprimé sur la fin de l’ouverture à gauche et au centre, en assurant que son gouvernement n'était « pas partisan ». Il s'est aussi dit implicitement favorable à la suppression du bouclier fiscal et de l'ISF, puis a évoqué un nouvel impôt sur les revenus du patrimoine. Concernant une éventuelle candidature à sa propre succession en 2012, le président a annoncé qu'il prendrait sa décision autour de l'automne 2011.