Près de six mois après avoir signé leur Contrat de Plan Etat-Région de plus de 4,4 milliards d’euros, ils ont précisé que 900 millions d’euros seraient alloués aux Métropoles du territoire.
Si la Métropole de Lyon rafle la plus grosse mise avec 500 millions, celle de Grenoble n’est pas en reste. Ce sont 140,31 millions d’euros qui permettront de co-financer toute une batterie de projets inscrits dans le plan par Christophe Ferrari et ses équipes.
On retrouve ainsi la rénovation d’Alpexpo, de la friche Allibert et du Parc industriel sud.
Mais aussi le projet de couverture du marché de la place Marcel Cachin à Fontaine, l’aménagement de la Tour Perret, l’implantation du Musée de la résistance et de la déportation au Palais du Parlement dauphinois, la réhabilitation de l’Ecole d’art et de design Grenoble, le développement du tourisme été/hiver sur le site de Col de Porte ou encore l’aménagement d’une voie verte de Pont de Claix à Vizille puis de Vizille à Séchilienne.
"Les montants en jeu, sensiblement plus élevés que sur la précédente période de programmation, nous permettront de mener collectivement des projets relatifs à la transition écologique, à l’aménagement du territoire ou encore à la culture. Je veux également souligner l’importance de la finalisation du volet consacré à l’enseignement supérieur, à la recherche et à l’innovation qui représente une étape importante pour concevoir les technologies de demain, renforcer notre compétitivité économique et offrir des équipements de qualité à nos étudiants et à leurs enseignants. Chaque citoyen de notre région bénéficiera de cet accord trouvé entre l’État et les collectivités locales", s'est félicitée Fabienne Buccio, la préfète de Région.
Ce volet sera présenté et voté par les conseillers régionaux les 9 et 10 mars prochains.