Seulement, un dispositif a été mis en place par la municipalité : des policiers fouillaient les sacs à l’entrée de la piscine, vérifiant les maillots de bain des usagers avant de les laisser entrer.
Les membres du collectif ont donc décidé de se poster près de l’entrée de la piscine pour débattre avec les passants et ceux qui venaient se baigner. Éric Piolle, le maire de Grenoble a dénoncé le collectif en les qualifiant de "professionnels du développement communautaire" et de "religieux politiques". Il a appelé le gouvernement à "siffler la fin de la récréation" en se positionnant clairement contre Alliance Citoyenne.