Le maire écologiste de Grenoble l'avait promis mi-mai. Avec cet arrêté, les personnes expulsées de leur logement ne pourront l'être qu'à partir du moment où une solution de relogement a été trouvée au préalable par l'Etat (et non par les propriétaires).
Un acte politique qui pourrait connaître la même issue que dans les villes qui l'avaient déjà réalisé par le passé : à savoir un recours de la préfecture et une annulation par le tribunal administratif.
Un arrêté anti-expulsion à la rue à Grenoble
Ce jeudi, Eric Piolle doit signer un arrêté anti-expulsion.