Une décision très attendue par Pierre et Vacances qui veut le construire depuis 2007 mais aussi par les militants écologistes qui dénoncent le projet et ont intenté de nombreux recours.
Sauf que la justice lyonnaise a besoin de nouvelles données. C'est pour cela qu'elle ne s'est pas prononcée sur l'arrêt du chantier prononcé par le tribunal administratif de Grenoble en 2015. Elle a plutôt réclamé une nouvelle expertise pour réévaluer le nombre d'hectares de zones humides qui seraient détruits si le Center Parcs voyait le jour. Cela permettrait aussi de revoir les mesures compensatoires.