Baptisé la cabane "Paradise", le campement phare de la région grenobloise accueillait une cinquantaine de gilets jaunes chaque jour. L’évacuation et la destruction du camp se sont déroulées sans violence.
A noter qu’une cabane accueillant des gilets jaunes est toujours présente à quelques mètres de celle détruite ce lundi. En effet, ce second camp est sur un le champ d’un agriculteur qui aurait donné son accord pour occuper ses terres.