Le meurtrier présumé du petit Valentin souffrirait d'une abolition du discernement

Le petit Valentin avait été tué l’été dernier dans l’Ain, d'une quarantaine de coups de couteaux.

C’est ce que révèle le rapport d’un collège de trois experts psychiatres rendu hier. Une conclusion qui pourrait amener la justice à reconnaître pour la première fois l’irresponsabilité du vagabond, Stéphane Moitoiret. La procureure de Bourg-en-Bresse a demandé des réquisitions supplétives et la désignation d'un troisième collège d'experts au juge d'instruction. Une convocation que le juge d’instruction n’est pas obligé d’accepter. Si c'est le cas, ce serait le troisième collège convoqué depuis le début de l’enquête.