Plus précisément, cette espèce menacée a trouvé refuge dans la zone tampon, entre les murs de la prison et les grillages qui entourent le site. Une zone remplie d'herbe que les moutons vont pouvoir brouter, remplaçant ainsi les tondeuses à gazon. L'association Naturama est à l'origine de cette initiative qui réduit les coûts et qui garantit de la biodiversité.
A noter que les prisonniers ne seront pas en contact avec le troupeau.