Ces enseignants, lycéens et étudiants dénonçaient la mise en place de la plateforme Parcoursup, mais également contre la hausse d'effectifs dans les classes et le manque d'enseignants.
La protestation portait également contre le projet de réforme de baccalauréat du ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer, qui vise à instaurer une épreuve composée de quatre matières, et de supprimer les filières S, L et ES.