On apprenait mercredi que ces dernières expliquaient leur geste par un désir de vengeance et de s’attaquer à l’homme derrière l’uniforme.
La revendication de l’incendie de la gendarmerie de Meylan n’a pas convaincu les enquêteurs
Selon le Dauphiné Libéré qui interroge une source proche de l'enquête, la piste des féministes anarchistes n’est pas la plus "vraisemblable".