Ce mardi, des scientifiques de synchrotron de Grenoble ont publié la preuve de cela dans la revue Scientific Reports.
Ces particules vont rester à vie dans le corps. Le problème est qu’on ne connait pas leurs effets sur la santé.
Selon l’un des auteurs de l’étude dans des propos recueillis par l’ESFR, "quand quelqu'un veut se faire un tatouage, il est souvent très soucieux de choisir le bon salon, celui où les normes sanitaires sont respectées, celui où des aiguilles stériles neuves sont utilisées. Mais, personnes ne se pose la question de savoir quelle est la composition chimique des couleurs utilisées pour les tatouages. Notre étude montre qu’il le faudrait!”