C’est la CGT qui est à l’origine de ce mouvement dont l’objectif est de s’opposer aux restructurations menées au sein de la SNCF et à la "suppression de 7000 postes par an pendant 4 ans".
Ainsi, 90 % des rames devraient donc circuler entre Valence et Grenoble. De plus, il devrait y avoir 1 train sur 3 entre Grenoble et Saint-Marcellin, notamment le matin.