Depuis le mois d’avril, elle aurait appelé la police iséroise, en composant le 17, 9381 fois pour des faits imaginaires ou pour raccrocher au nez du fonctionnaire qui prenait l’appel. Cela représente donc une quarantaine d’appels, par jour, qui encombraient les lignes destinées aux appels urgents.
De plus, une dizaine de fois, les policiers de Voiron ont dû se déplacer pour rien, à cause de fausses informations données par la quinquagénaire.
Un médecin l’a examinée ce mercredi lors de sa garde à vue. Selon lui, il était urgent de la transférer en structure psychiatrique. Elle est donc maintenant soignée dans un hôpital spécialisé de Saint-Egrève.