Environ 30 d’entre eux se sont réunis vers midi devant la préfecture de l'Isère. Le but, encore une fois, c’était de dénoncer une dégradation de leurs conditions de travail, notamment à cause de l'Etat d'urgence, et un manque de moyens techniques. Lors de ce rassemblement, une motion a été remise à deux membres du cabinet du préfet pour bien définir les revendications et les attentes. A savoir qu’un préavis de grève avait été déposé par le syndicat FO au niveau national.
Pour rappel, depuis la mi-octobre, de nombreuses manifestations de policiers ont eu lieu en France et y compris à Grenoble.