Six mois de prison avec sursis requis contre le contrôleur SNCF suspecté d’agressions sexuelles
Les faits remontent au 3 février dernier dans un train de la ligne entre Saint-André-le-Gaz et Grenoble.
Ce jour là le contrôleur s’était assis à côté d’une passagère, avant de lui toucher le mollet et le haut de la cuisse. Jugé mercredi, il a seulement avoué avoir entamé la discussion, mais nie toute attitude équivoque. Le parquet qui a demandé six mois de prison avec sursis a aussi requis l’interdiction d’exercer pendant trois ans. Le jugement est attendu le 1er avril.