Le mot d'ordre : poursuivre la mobilisation dans les universités.

Diversement perturbées par l'initiative du Printemps des Chaises, qui a consisté à retirer les sièges des salles de classe pour empêcher la tenue des cours tout en laissant les locaux ouverts, les universités de Grenoble devraient connaître de fortes perturbations. Les enseignants-chercheurs, rejoints par les étudiants, protestent contre les réformes de l'enseignement supérieur. Ce ne sont pas les annonces de François Fillon, qui est revenu sur les suppressions de postes prévues en 2010 et 2011, ni celles de Valérie Pécresse qui a décidé une réécriture du décret modifiant leur statut, qui va apaiser leur colère…