Vingt ans de prison pour une Grenobloise accusée d’actes de barbarie

Elle était jugée depuis lundi dernier pour des actes de barbarie et de torture ayant entraîné la mort de sa colocataire.

La victime avait été retrouvée morte dans son appartement en 2011. Selon le médecin légiste elle était décédée suite à des brûlures qui s’étaient infectées. Le procureur avait requis la réclusion criminelle à perpétuité. Mais les jurés ont prononcé eux une peine de 20 ans de prison.