La colère gronde chez ST Ericsson
Les salariés de la filiale de ST Microelectronics ont manifesté mardi à Grenoble contre ce qu’ils appellent le "renoncement productif".
Ils reprochent à l’Etat d’avoir donné son aval au désengagement de ST Micro. Des demandes de rencontres ont été déposées à la mairie, à la préfecture, et à la permanence de la députée Geneviève Fioraso. En tout, 6000 postes pourraient être menacés par cette scission à Grenoble et à Crolles.