Le maire de Vienne va attaquer Dexia en justice

En 2006, la municipalité iséroise avait contracté des prêts devenus toxiques.

Les intérêts sont passés depuis de 3,97% à 13,92%, mais Jacques Remiller refuse de payer le surcoût. L’affaire sera donc examinée par le tribunal de grande instance. À noter que dans une démarche similaire, le mois dernier, Sassenage avait reçu l’appui de la Chambre régionale des comptes.