Ils ont voulu, disent-ils, "interpeller les consciences" : 200 personnes se sont réunies, mardi soir, à Grenoble, à l’appel du Parti communiste, deux semaines après l’agression de six jeunes militants.

La municipalité recherche actuellement 45 jeunes de 18 à 25 ans prêts à s’engager dans des missions d’intêrét général.

Face à la météo rigoureuse, les associations ont dû s’adapter.

L’appel était d’ampleur national.

Ils étaient près de 200 pompiers rassemblés jeudi à Fontaine devant les locaux du Sdis, le Service départemental d’incendie et de secours.

Le local de Roussillon a été cambriolé.

Il s'agit d'un mouvement national, à l’appel de la CGT, qui doit se terminer vendredi matin.

+2,4% en septembre par rapport au mois d’août.

Le syndicat majoritaire des inspecteurs du permis annonce une grève illimitée à partir de lundi.

Le Forum pour l’emploi démarre ce mardi au centre commercial Grand Place.

C’est le moment de trouver un job : l’opération débute lundi, et c’est la 8e édition.

A l'occasion de la journée d’action nationale, entre 250 et 500 personnes se sont réunies dans les rues de Grenoble pour défendre leur pouvoir d’achat, et leur accès aux soins.

L’association Médecins du Monde lance un cri d’alarme jeudi matin dans le Dauphiné Libéré.

Les étudiants grenoblois ont été privés de cantine mardi midi : quatre restaurants universitaires, ceux de Barnave, Condillac, Minatec et de la cafétéria DLST sont restés fermés.

Les étudiants de Grenoble ont encore plus de mal que d’habitude à boucler leur budget...

Le principe d’un bonus-malus sur les tarifs de l’énergie a été adopté dans la nuit de jeudi à vendredi à l’Assemblée nationale.

Jean-Marc Ayrault va tenter de rassurer les Français : le Premier ministre est l’invité de France 2 jeudi soir, pour l’émission « Des paroles et des actes ».

Le mouvement a débuté mercredi, suite à une nouvelle réunion entre patron et employés.

Jusqu’au 26 octobre, la Caisse d’allocations familiales met en place un accueil spécifique.

STMicroelectonics à Crolles abuse-t-elle du chômage partiel ?

Ils travaillaient pour Schneider Electric à Grenoble, et ils ont perdu leur emploi : ce sont les salariés d’EASI, une société sous-traitante de Schneider, basée à Seyssinet-Pariset.