L’Assemblée nationale se saisit aujourd’hui du projet de loi qui vise à supprimer la publicité sur les antennes de France Télévisions.

Ils ont manifesté hier devant le "Carrefour" de Salaise sur Sanne.

Pas de perturbation à prévoir sur les TGV et les Corail et très peu sur les TER.

Plus de 600 personnes se sont mobilisés à Grenoble contre le passage de La Poste en société anonyme au 1er janvier 2010 avec une ouverture de capital à hauteur de 3 milliards d'euros.

Depuis hier soir 20H seulement 1 TER sur 2 circule en Rhône-Alpes.

Et un nouveau plan social en perspective chez Playtex à la Tour du Pin, deux ans à peine après le précédent.

Les sites de Grenoble et d’Echirolles sont victime de la crise actuelle.

La mobilisation a été de grande ampleur puisque 10 000 personnes selon les syndicats, près de 6000 selon la police s’étaient retrouvées devant la gare de Grenoble hier à 14h.

Toutes les entreprises de la plate-forme sont concernées.

Ils manifesteront contre la dégradation de leurs conditions de travail et les 13 500 suppressions de postes inclus dans le budget 2009.

Ils ont dénoncé la "braderie du service public", en cette semaine de grogne sociale généralisée chez les fonctionnaires français.

Et plusieurs communes se sont déclarées dans l'incapacité d'assurer un service minimum d'accueil des enfants lors de la journée de grève.

Le groupe envisage de supprimer 26 emplois à La Tour-du-Pin et près de 22 autres rattachés à son siège de Levallois-Perret.

Ils se sont donné rendez-vous 12h30, place Bellecour à Lyon.

Une trentaine d'opposants se sont massés devant l'entrée de l'ancien hôpital civil de Grenoble à La Tronche ou se trouve désormais l'hôpital "couple-enfant"…

Près de 500 salariés du groupe américain ont manifesté samedi matin à Chapareillan.

Il y avait plus de 300 véhicules entre Communay et Mions, en direction du Nord.

450 employés du site Grenoble-Eybens étaient appelés à cesser le travail contre ce que les syndicats appellent "un plan social financier".

De nouvelles crèches vont voir le jour à Grenoble…

Ce week-end elle a fait part de ses craintes, face aux difficultés grandissantes qu'elle rencontre pour remplir sa tâche de soutien aux personnes à la rue.

Et pour cause il n’y a de repreneur pour l’instant et l’usine n’est pas assez concurrentielle. E