Les employés qui craignent pour leurs postes ont bloqué hier matin quelques minutes hier, le train pour l’emploi qui avait fait escale en gare de Grenoble.

Un comité d’entreprise extraordinaire se tient aujourd’hui au siège isérois du groupe en difficulté à Moirans.

Le fabricant de textiles techniques, envisage la suppression dans les prochains mois de 200 emplois sur l'ensemble de ses cinq sites français, soit un quart des effectifs.

Il est en forte hausse au mois de février : +5,7%, alors que la moyenne nationale est de 3,5%.

Ce train réunit des grandes entreprises pour un événement d'envergure nationale, autour de l'emploi et porteur de valeurs d'ouverture, de diversité et d'égalité des chances.

À cette occasion, la caserne grenobloise ouvrira ses portes.

Même si le plan social n’est pas remis en cause, la direction de Caterpillar a s’est engagé hier à pérenniser ses usines de Grenoble et d’Echirolles.

Il se tiendra demain au siège isérois du groupe en difficulté à Moirans.

Ce train réunit des grandes entreprises pour un événement d'envergure nationale, autour de l'emploi et porteur de valeurs d'ouverture, de diversité et d'égalité des chances.

Des employés se sont regroupés devant l'entrée principale du site de Crolles avant de rejoindre ceux de Grenoble, et se rendre jusqu'en préfecture, pour remettre une motion au préfet.

Plusieurs dizaines de militants anarcho-libertaires qui s'étaient mêlés aux ouvriers en colère de Caterpillar ont tenté hier de pénétrer en nombre dans le magasin Monoprix, dans l'hyper-centre de Grenoble.

Syndicats et direction négocient toujours les termes du plan social qui prévoit 733 suppressions de postes sur les sites de Grenoble et d’Echirolles.

Après deux mois de grève, ils étaient à nouveau dans la rue hier matin pour une manifestation qui les a mené du campus jusqu’au rectorat.

Le syndicat mixte des transports en commun a tenu son conseil hier après-midi sur ce thème.

Pour protester contre la fermeture du Palais de Justice de la Cité Antique, ils seront en grève à partir de lundi prochain.

Le groupe chimique américain Célanèse, a annoncé hier la fermeture de son site de Pardies dans les Pyrénées Atlantiques.

Depuis hier salariés et direction étudient les mesures qui vont accompagner les 733 suppressions de postes d’emplois sur les sites de Grenoble et d’Echirolles.

Et cela plus de 7 semaines après le démarrage du conflit des enseignants chercheurs.

Les négociations se sont poursuivies toute la journée de vendredi à la direction départementale du travail à Grenoble en terrain neutre pour éviter tout débordement.

Le lyonnais BioMérieux, spécialisé dans le diagnostic médical, devrait réaliser une centaine d'embauches en France en 2009.

Après une vingtaine de vagues de licenciements en 20 ans, le principal employeur de cette commune de 2 500 habitants est au plus mal.