Les facteurs des bureaux de Sassenage, Saint-Egrève, Saint-Marcellin, Pontcharra et de Vienne se sont réunis hier après-midi.

Les médecins et personnels des hôpitaux de Grenoble étaient près de 250 hier à manifester devant la préfecture.

FO, la CFDT et la CFTC, vont soumettre une proposition à la direction trois jours après l'annonce de la mise en œuvre du plan social.

Il ne validera pas les diplômes si les cours ne sont pas rattrapés et ne tolérera aucune neutralisation.

Les salariés du site ont décidé d'occuper une nouvelle fois les locaux jours et nuit pour une durée indéterminée.

Face à cette situation de crise, le patron de la fonderie de la zone de Lafayette s’est séparé récemment du personnel intérimaire.

Le site est bloqué depuis près de 6 semaines par ses salariés.

Le mouvement est suivi en moyenne par 50% des conducteurs qui réclament une hausse des salaires de 3%.

Huit syndicats appellent à manifester ce matin à Grenoble à partir de 11 h depuis la préfecture.

Ils se sont rassemblés hier après-midi devant l'entreprise nivolésienne.

1 200 suppressions d'emplois sur 8 000 salariés dans le monde sont prévues.

La grève se poursuit ce matin encore pendant 59 minutes à la SEMITAG.

La direction met en accusation 19 salariés pour entrave au travail.

Enseignants et étudiants ont voté hier la levée du blocage sur le campus universitaire de Saint-Martin-d'Hères.

Selon le principal syndicat, il y avait 58% de grévistes hier matin.

C’est le résultat de la concertation qui a eu lieu hier à l’Université Stendhal de Grenoble.

Elle va mettre en œuvre le plan social prévoyant 733 licenciements sur les sites de Grenoble et d’Echirolles.

Dans un accident sur trois, une moto est impliquée.

Dans les départements de la région, le nombre de demandeurs d’emplois varie entre + 1,7 et + 5 %, entre février et mars.

Malgré les nombreuses tentatives de médiation proposées par la présidence, rien n’y fait.

Le mouvement a débuté lundi dernier et il s'annonce encore plus important aujourd’hui.