Il s’agit d’une nouvelle journée d’action dans les collèges et les lycées.

Il y avait 71 % de grévistes dans la capitale iséroise selon le Centre communal d'action sociale et 900 professionnels de la petite enfance ont manifesté.

Les négociations ont abouti à un compromis entre la direction et les syndicats mercredi soir en région parisienne.

L’appel a été lancé par la CGT pour le 15 avril.

Les professionnels de la petite enfance sont également en grève.

Les employés du site de Saint-Just-Chaleyssin participaient mardi au mouvement national qui a touché l’ensemble des sites français du groupe.

Il s’agit de la 100e édition.

Les employés étaient appelés à cesser le travail pour la défense de l'emploi dans l'industrie, des retraites mais aussi pour dénoncer la dégradation des conditions de travail.

La grande majorité des salariés du site de Saint-Honoré n’ont pas travaillé mercredi.

Les salariés de l’usine de Cessieu ont cessé le travail pendant une heure.

Le nombre de demandeurs d’emploi a augmenté de 1,3% en janvier par rapport à décembre, où il avait reculé de 1,2%.

Les aiguilleurs du ciel s’inquiètent d'un projet de fusion européen.

Les raffineries Total vont reprendre leurs activités, comme à Feyzin où 148 salariés ont voté mercredi la suspension du mouvement sur le site, lors d'une assemblée générale.

Ils réclamaient une hausse des pensions et un renforcement de l'assurance-maladie au profit des malades les plus pauvres.

Une centaine d’employés de l’hypermarché isérois a réclamé mardi aux prud'hommes de Grenoble, près de 300 000 euros d'arriérés de salaires à leur employeur.

La CGT appelle à la reprise du travail chez Total.

Les salariés du dépôt de l’entreprise doivent se réunir mercredi pour manifester à l’appel de la CGT.

Rendez-vous fixé mardi matin à 10 heures.

Plusieurs aéroports de province comme celui de Grenoble ou Chambéry pourraient fermer pendant le mouvement social.

La CGT a claqué la porte des négociations avec la direction dimanche soir au siège du groupe à La Défense.

Chez Total, après deux jours de grève, les salariés des six raffineries de France ont voté pour un mouvement illimité.