Mercredi matin, des manifestants ont bloqué la sortie des bus du dépôt de Sassenage.

Elle est organisée partout en France afin de protester une fois de plus contre la réforme des retraites. A Grenoble, le cortège partira à 10h du cours Jean Jaurès.

Il reste tout de même perturbé mercredi, à cause de la grève reconductible sur la réforme des retraites.

Ils ont décidé de reconduire leur mouvement de grève contre la réforme des retraites, jusqu’à jeudi.

Une cinquantaine de salariés de l’entreprise Samat de Seyssuel ont bloqué l’entrée et la sortie des camions citernes lundi pendant plus de sept heures.

Depuis vendredi, une dizaine de salariés du secteur énergie se sont mis en grève.

C’est ce qu’a affirmé Olivier Magnaval, préfet délégué à la défense et à la sécurité.

L’enseigne Cap’Or de Chasse-sur-Rhône a été la cible de malfaiteurs dans la nuit de dimanche à lundi.

L’Unef, l'un des principaux syndicats étudiants appelle à une journée d’action ce mardi.

Ils étaient entre 1 500 et 4 000 à s’être donné rendez-vous à Lyon, dans le Rhône, samedi.

Les Cheminots ont voté la reconduction de la grève jusqu’à ce soir dans la région. 80% des TGV et 60% des TER devraient circuler lundi.

Hier matin, près de 200 élèves, enseignants et parents d’élèves se sont réunis à Charbonnières, où se tient actuellement une séance plénière du Conseil régional.

Malgré tout, on observe une petite amélioration à la pompe.

Cette hypothèse n’est pas à exclure. Le mouvement contre la réforme des retraites pose des problèmes de réapprovisionnement.

Réunis à Paris jeudi, les syndicats ont appelé à deux nouvelles journées de mobilisation contre la réforme des retraites.

Dès 9h, mercredi matin, une centaine d’élèves ont organisé une "Opération hécatombe".

Mercredi, pour la deuxième fois de la semaine, entre 70 et 80 manifestants ont participé à cette opération.

Le lycée Jean-Jaurès a été bloqué mercredi matin. Une action émaillée de plusieurs incidents.

A Lyon, ville où les affrontements entre jeunes et policiers ont été les plus violents, de véritables scènes de guérillas urbaines ont été observées.

Lundi matin vers 8 heures, plusieurs dizaines de manifestants ont bloqué la route utilisée par les poids lourds pour approvisionner la plateforme chimique de Roussillon.

C’est une des mesures annoncée lundi par Jean-Jacques Queyranne, pour faire face à la mobilisation grandissante visant à protester contre la fermeture de l’établissement.