Ils comparaissaient lundi devant le tribunal de Bourgoin-Jailleu pour avoir refusé, en 2009, de vacciner leurs troupeaux contre la fièvre catarrhale ovine.

Les faits remontent au vendredi 13 mai et se sont déroulés dans le 6e arrondissement de Lyon.

Les deux hommes font partie des quatre individus interpellés mardi matin par le GIPN, à Échirolles et Saint-Égrève.

Le 14 mars, ces salariés des sites de Lyon-Mermoz, Bourgoin et Saint-Quentin-Fallavier ont demandé une « compensation d'anxiété » et une « compensation économique » pour avoir été en contact avec l'amiante.

Cet homme de 55 ans comparaissait la semaine dernière devant la Cour d’assises de l’Isère pour des faits qui remontent au mois de février 2008.

La Frapna a décidé jeudi, au terme d’une réunion avec la mairie d’Allevard, de maintenir son recours.

Les affaires courantes étaient toutes renvoyées à des dates ultérieures mercredi.

Depuis lundi, ils manifestent contre la réforme de la garde à vue.

Les 480 avocats du barreau de Grenoble n'exerceront aucune activité juridique jusqu’à mercredi.

Cette jeune iséroise a été condamnée le 18 avril à quatre ans de prison, à Stockholm, pour des maltraitances envers son fils.

Un quadragénaire domicilié à Pont-de-Beauvoisin était jugé mardi en comparution immédiate.

Cet homme âgé de 32 ans a été condamné à deux ans de prison par le tribunal de Bourgoin-Jailleu.

Le 18 novembre dernier, il s’en était pris à l’une de ses camarades de classe.

Tous comparaissaient mardi pour abus de confiance ou recel d’abus de confiance.

Cet ingénieur de 38 ans avait été jugé au début du mois pour une vingtaine de viols et agressions sexuelles commis dans l’agglomération grenobloise.

Le tribunal correctionnel de Vienne a rendu sa décision mardi.

L’homme âgé de 28 ans avait été jugé la semaine dernière pour des violences contre son fils alors âgé de cinq mois.

Le procureur de la République a réclamé deux ans de prison avec sursis à l’encontre d’un habitant de Pont-de-Chéruy.

Son compagnon, l’ex-hockeyeur grenoblois Damien Fleury, s’est effondré à l’annonce du jugement.

Ce sont les peines prononcées vendredi dans l’affaire de la guerre des gangs grenoblois, jugée devant cour d'assises de Lyon.

Ces deux hommes âgés d’une trentaine d’années sont suspectés d’avoir fait partie du commando qui a braqué le Crédit municipal de Grenoble en octobre 2009.