Fin novembre, sous l’emprise de l’alcool, un homme de 42 ans avait tenté d’enlever une petite fille de 9 ans devant l’école de la Table Ronde, à Vienne.

Souvenez-vous, en 2011, les gendarmes ont découvert des chiens vivant dans d’atroces conditions au milieu d’une quinzaine de cadavres d’animaux, dans un chenil de Jarrier (Savoie).

Il comparaissait devant le tribunal de Grenoble pour des actes de maltraitance envers son bébé. Les juges l’ont relaxé au bénéfice du doute.

SOS antisémitisme a annoncé lundi avoir porté plainte pour « apologie de crimes de guerre », après les faits qui remontent au 3 décembre.

Il avait été condamné le 15 décembre à la prison à perpétuité, par la cour d’assises de l’Ain, pour le meurtre du petit Valentin.

Le parquet d’Albertville a ouvert jeudi, une enquête préliminaire pour déterminer ce qu’il s’est passé le 3 décembre, dans un restaurant de la station savoyarde.

Mis en examen le 3 octobre et écroué notamment pour corruption, il sera entendu mardi pour la première fois, par le juge d'instruction parisien en charge de l'affaire.

L'ex-numéro 2 de la PJ de Lyon s'expliquera sur le fond de l'affaire, face au juge qui l’avait mis en examen le 3 octobre dernier.

Il a été reconnu coupable jeudi devant la cour d’assises de l’Ain, du meurtre du petit Valentin, poignardé de 44 coups de couteau, en 2008, à Lagnieu.

C’est en effet la peine demandée mercredi par l’avocat général aux Assises de l’Ain, à l’encontre du meurtrier présumé du petit Valentin, assassiné en 2008 à Lagnieu.

Elle comparaissait mardi devant le tribunal correctionnel de Vienne et a écopé de trois mois de prison avec sursis.

Il y a une dizaine jours, cet homme incarcéré à la prison de Saint-Quentin Fallavier avait attaqué trois surveillants.

Grand remue-ménage mardi matin à la cour d'assises de l'Ain.

Le tribunal d’Albertville a rendu son jugement lundi dans le procès de deux sœurs propriétaires d’un chenil à Jarrier. Elles comparaissaient le 17 novembre pour sévices et actes de cruauté sur animal domestique.

Des peines de six à douze mois de prison avec sursis ont été prononcées lundi à l’encontre de quatre prévenus âgés de 46 à 55 ans.

Le meurtrier présumé du petit Valentin et sa compagne Noëlla Hégo, sont jugés depuis lundi à Bourg-en-Bresse.

Formé par des policiers et des magistrats qui ont travaillé avec l'ancien numéro 2 de la PJ de Lyon, ce comité réclame que «le principe de la présomption d’innocence» soit appliqué.

Âgés de 32 et 39 ans, ils ont été relâchés et placés sous contrôle judiciaire.

Un Isérois, employé de banque à Roanne dans la Loire, a été condamné lundi à trois ans de prison, dont deux avec sursis.

Il est jugé depuis lundi au assises de l’Ain pour le meurtre du petit Valentin, en juillet 2008, à Lagnieu.

Stéphane Moitoiret et sa compagne, Noëlla Hego, comparaissent devant la Cour d’assises de l’Ain, à Bourg-en-Bresse.