Les faits se sont déroulés le week-end dernier. Les dégâts ont été découverts lundi, par les services techniques de maintenance de la mairie de Roussillon. Selon le Dauphiné, l’école maternelle et primaire de la commune du Nord-Isère a été "visitée" pendant la période des vacances scolaires.

A Meylan, le quartier des Aiguinards a été la cible de plusieurs incidents ce week-end. Un incendie, d’origine volontaire, s’est déclaré vendredi soir sur le toit du bâtiment désaffecté de l’ancienne piscine.

Dans la nuit de samedi à dimanche, un homme âgé manifestement d’une quarantaine d’année a été retrouvé inanimé chemin des Alpins dans le quartier du même nom à Grenoble.

Deux jeunes Échirollois ont permis d’éviter qu’un drame ne se produise samedi sur l’A 480. Vers 15 h 30, une automobiliste âgée de 83 ans a pris l’autoroute à contresens, au niveau de l’échangeur du Rondeau.

Un jeune homme de 19 ans est toujours entre la vie et la mort après avoir chuté d’un balcon dimanche matin vers 6h30. La victime avait passé la nuit à faire la fête avec des amis. Il aurait essayé d’enjamber la rambarde entre deux balcons pour une raison indéterminée.

Un homme d’une quarantaine d’année a perdu la vie, dimanche soir, sur la route départementale 1532. Peu après 22 heures, le conducteur a perdu le contrôle de son véhicule pour une raison encore inconnue.

L’accident s’est produit samedi vers 21h. Le conducteur de la voiture a perdu le contrôle de son véhicule pour une raison encore indéterminée.

Les policiers et magistrats tirent la sonnette d'alarme. Selon eux, la vente et la possession d’armes à feu a explosé à Grenoble notamment en lien avec le trafic de stupéfiants. Ces dernières semaines, 4 hommes ont été abattus par balle probablement suite à des règlements de compte.

Un préavis de grève avait été déposé par l’intersyndicale il y a une semaine pour protester contre l’attribution du service Métrovélo à la société privée Vélogik par la Métropole grenobloise.

Mardi soir, alors que plusieurs individus appartenant à la communauté des gens du voyage ont brulé des voitures et dégrader du mobiliers urbains, le garage d’un homme a été saccagé par une dizaine de personne. Le propriétaire s’était alors réfugié dans un local avec sa famille et ses employés en attendant l'aide des forces de l'ordre. Selon le garagiste, les policiers auraient laissé faire les cas

Le procureur de Grenoble s’est exprimé ce mercredi lors d’une conférence de presse. Il a annoncé que l’enquête pour retrouver les auteurs des violences et des dégradations urbaines serait très compliquée. L'identification des émeutiers prendra sans doute plusieurs semaines car la majorité d’entre eux étaient cagoulés. Il faudra donc des analystes d’empreintes et la visionnage des caméras de survei

Les faits se sont déroulés à Grenoble mardi matin vers 9h30. Le conducteur d’un véhicule utilitaire a enclenché une marche arrière et percuté une dame de 86 ans.

Une Grenobloise de 33 ans soupçonnée d’avoir volé et encaissé une soixantaine de chèques, appartenant à la société qui l’employait depuis 2014 a été interpellé.

L’agresseur était en réalité le père de famille d’une de leur amie. Les deux jeunes filles étaient âgées de 13 ans au moment des faits. Absent de son procès pour raison médical le prévenu a expliqué dans un courrier adressé au tribunal qu’il acceptait par avance sa condamnation.

La journée de mardi a été secouée par de violentes scènes de guérilla urbaine à Moirans dans l’Isère et par une mutinerie qui s'est déroulée dans la prison d'Aiton en Savoie.

Plusieurs jeunes femmes exerçaient leurs activités dans les départements de l’Isère, de l’Ain, et du Rhône. Les prostituées recevaient régulièrement l’aide de plusieurs individus chargés de leur apporter quotidiennement de la nourriture ou encore de l’essence.

Les incidents qui ont dégénéré ce mardi en soirée dans la commune de Moirans en Isère ont entrainé l’interruption du trafic des TER sur la liaison Lyon-Grenoble.

L’enquête se poursuit concernant l’accident dramatique qui a couté la vie à trois jeunes de 17 et 18 ans ce week-end à Saint-Joseph-de-Rivière. La voiture volée à bord de laquelle se trouvaient quatre jeunes Isérois gantés et cagoulés est sortie de la route avant de percuter un arbre dans la nuit de vendredi à samedi.

L’homme de 53 ans, a été interpellé dans l’enceinte de l’établissement scolaire Champollion vendredi dernier. Le quinquagénaire, responsable des services techniques de l’établissement grenoblois, est suspecté de viol aggravé.

Les policiers grenoblois sont intervenus place Edmond-Arnaud vendredi après-midi alors que plusieurs riverains se plaignaient d’incivilités. Habillés en civil, ils se sont rendus sur place mais n’ont pas repérer de perturbateur à l’exception d’un homme qui est venu les accoster pour leur ventre un téléphone portable.

L’altercation s’est déroulée sur l’avenue Marcellin-Berthelot vendredi soir. Les passagers d’une voiture qui circulait sur l’avenue ont pris à partie un homme qui se trouvait sur un trottoir à proximité.